Adishi-Iprali, best of upper Svaneti.
La section Adishi-Iprali est de loin la plus belle partie du trek itinérant Mestia-Ushguli.
On quitte Adishi et ses 12 tourelles Svanes, symboles de cette région de Géorgie. Adishi est l'un des villages les plus isolés de Svanétie. Quelques familles, dont celle Natia qui nous a accueilli dans sa guesthouse, s'accrochent encore à ce lieu éloigné de tout.
L'essor du tourisme a ramené un peu de monde dans ce village balayé par une avalanche il y a quelques années ... mais les quatre mois de la saison estivale n'arrivent pas à faire oublier le reste de l'année et les durs hivers !
La piste est toujours bien marquée. La pyramide de glace du Tetnuldi nous surplombe.
A mi-parcours, la rivière tumultueuse venue du glacier barre notre chemin. Les habitants d'Adishi ont monté là un petit business en facilitant la traversée du torrent à dos de cheval ... traversée que des randonneurs Israéliens et Russes bardés d'énormes sacs s'évertuent à vouloir faire en sandale. Personne ce jour là ne passera à l'eau!
Le reste du parcours n'est que contemplation face à des montagnes gigantesques marquant la frontière avec la Russie voisine. Parfois, le silence de la montagne est interrompu par un fracas de glaces et le bruit des séracs qui se détachent sous l'effet de la chaleur.
Arrivée à Iprali après 21 kilomètres d'émerveillement. Une bière Kazbegi bien fraîche nous attend ainsi que le typique khatchapouri.
On quitte Adishi et ses 12 tourelles Svanes, symboles de cette région de Géorgie. Adishi est l'un des villages les plus isolés de Svanétie. Quelques familles, dont celle Natia qui nous a accueilli dans sa guesthouse, s'accrochent encore à ce lieu éloigné de tout.
L'essor du tourisme a ramené un peu de monde dans ce village balayé par une avalanche il y a quelques années ... mais les quatre mois de la saison estivale n'arrivent pas à faire oublier le reste de l'année et les durs hivers !
La piste est toujours bien marquée. La pyramide de glace du Tetnuldi nous surplombe.
A mi-parcours, la rivière tumultueuse venue du glacier barre notre chemin. Les habitants d'Adishi ont monté là un petit business en facilitant la traversée du torrent à dos de cheval ... traversée que des randonneurs Israéliens et Russes bardés d'énormes sacs s'évertuent à vouloir faire en sandale. Personne ce jour là ne passera à l'eau!
Le reste du parcours n'est que contemplation face à des montagnes gigantesques marquant la frontière avec la Russie voisine. Parfois, le silence de la montagne est interrompu par un fracas de glaces et le bruit des séracs qui se détachent sous l'effet de la chaleur.
Arrivée à Iprali après 21 kilomètres d'émerveillement. Une bière Kazbegi bien fraîche nous attend ainsi que le typique khatchapouri.