Traversée de l'Épine

courotaf
La météo était annoncée belle et dégagée... au dessus de 900m :D

Pour la première grosse moitié, j'ai pris un segments du Trail du Grand Lac, les gars se cassent la nénette à faire de jolies traces, ça serait dommage de pas en profiter.

- Chanaz -> Ontex, très agréable et le balisage peinture toujours visible, youpi! Ambiance Halloween entre brume et tapis de feuilles morte :)
- Ontex -> Col du Chat, liaison en chemins forestiers
- Col -> Relais du Chat, sans doute la plus Alpine des courses Jurassiennes (pataper), avec la mer de nuage en prime: 5*. Bien sur, passage à la Dent pour un petit bain de foule
- Relais -> Château Richard, même si la vue est toujours magnifique et que le plus gros est passé, petit coup de baisse de moral : ça semble loooong
- Château R. -> Col de l'Épine, grosse section en bitume, il devrait y'avoir moyen de faire sans (mais en plus long)
- Épine -> Col du Crucifix, on continue dans le roulant, là aussi, il devrait y avoir possibilité de faire plus sympa en rallongeant un peu
- Crucifix -> Aiguebelette, c'est pas très long mais diablement technique (bon, je suis plus au mieux de ma forme non plus), à refaire avec un peu plus de jus!

Le balisage est assez bon dans l'ensemble. Je n'aurais douté que 2 fois sur la bonne direction. Attention à la flotte, dernier point d'eau croisé: le lavoir d'Ontex. J'avais prévu de faire le plein à la boutique du relais du chat, mais elle était fermée. En questionnant un bûcheron vers l'Épine au sujet d'éventuelles sources dans le secteur, il n’a pas su m'en indiquer, mais sympa, il m'a filé une demi bouteille qu'ils leur restait du casse croûte.

Premier essai avec les bus TER, sympa mais ne connaissant pas le parcours ça m'a pas mal préoccupé après le relais du Chat: Rater le transport à Aiguebellette un 11 novembre au soir, ça fait pas rêver. Sinon, prévoir de se renseigner sur les horaires des transport à Lépin-le-lac, c'est 4 bornes de route en plus mais un peu mieux desservi. Note pour plus tard, après un telle bambée, l'attente du transport sans un abris digne de ce nom, ça laisse bien le temps de se cailler comme il faut.