Il fut une époque où toute photo d'escalade et d'alpinisme, aussi belles soient-elles, étaient discréditées par... le casque des grimpeurs. Soyons honnêtes, ces casques de mineurs (ou en forme de champignons, appelez-les comme vous voulez) sont vraiment affreux...

Grâce au Mammut Wall Rider, cette époque est révolue et plus rien ne fera tâche sur vos plus belles photos de montagne.

1. Design :

Pour être bref : ce casque a fière allure. Un design sobre mais efficace qui séduira toute personne ne cherchant pas à ressembler à un arc-en-ciel en falaise.
Comme dit précédemment, là où ce casque se démarque des autres que j'ai pu essayer, c'est par sa forme loin d'être ridicule. Il n'est pas tout rond et évite le design ''champignon'' qu'ont une majorité de ses concurrents.

2. Confort :

Avoir un joli casque c'est bien, mais un casque confortable, c'est mieux. Et c'est encore gagné pour le Wall Rider.
Ce qui frappe en premier est sa légèreté (195g) : on le met sur la tête, on l'attache puis on l'oublie dès la seconde où l'on commence à grimper.
Moi qui suis chevelu, je cherchais aussi un casque respirant qui évacue la chaleur de ma dense chevelure. Critère très bien remplis par ce casque et ses grandes aérations. Testé et approuvé lors de chaudes journées d'été en versant sud.
Enfin, le casque s'ajuste parfaitement à votre tête grâce à son système de jugulaires pour le réglage occipital. C'est un système ultra-léger qui ne se sent pas du tout sur l'arrière du crâne et qui plaque bien le casque sur la tête ce qui renforce le sentiment de sécurité.

3. Protection :
Les casques d'escalade et d'alpinisme reprenant plus ou moins tous les mêmes caractéristiques et normes, j'avoue que le design a été mon principal argument d'achat.
Cependant, j'ai été séduit par la coque de protection sur le dessus du casque qui donne une sentiment de solidité et de sécurité.
Et comme dit précédemment, les jugulaires très ajustables sont un vrai plus qui donne une réel sentiment de "ne faire qu'un avec le casque".