Avis Sidas Drywarmer PRO USB 2019

1 avis Sidas Drywarmer PRO USB.

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Way to Everest

Un super gadget bien pratique

Avis sélectionné
Profil du testeur : 31 ans | 1,84m | 71kg | Avancé
Acheté : 34€ en ligne
Conditions du test : Neige (ski de Rando), trail sous pluie, tempête, running

Points forts

- Sèche très bien,
- Ne détériore pas le matériel,
- Plus efficace que le papier journal,

Points faibles

- Pas de batterie,
- Alimentation secteur ou 12V indispensable,
- Finitions plastiques sommaires,
- Pas de réelle preuve d'efficacité de la lumière bleue,

Découvert au détour d’une publicité, ce petit appareil ne mérite un grand test, mais l’idée est super. Pouvoir sécher et d’assainir ses chaussures et autres équipements après une sortie humide. Certes, c’est de l’ordre du gadget pour certains, mais je dois avouer que l’idée est bonne, et qu’il fonctionne très bien.


Le produit

Ce sèche-chaussure est formé principalement de 2 sabots, que l’on glisse dans les chaussures ou les gants. Ces 2 sabots sont reliés par un câble en «Y ». Ces 2 branches sont suffisamment longues pour atteindre le fond des chaussures de ski. Une télécommande permet de choisir le minutage : 4 heures de séchage ou en continue sans arrêt.

Ces 2 sabots sont en plastique PVC d’une finition convenable, mais ne semblent pas particulièrement robustes et sonnent un peu « toc ».

Ce produit n’embarque pas de batterie.

L’alimentation de fait par prise USB (large, universelle). L’appareil doit être relié à un chargeur secteur (9V ou 12V type smartphone ou allume-cigare, les 2 fonctionnent). Le chargeur n'est pas fourni, dommage.


Utilisation

En pratique c’est ultra-simple, on branche l’alimentation USB, on glisse chaque sabot là où on souhaite sécher, on sélectionne le timing et y’a plus qu’à laisser faire.

Nous le savons tous, en ce qui concerne les chaussures (et certains accessoires techniques) : la machine à laver est absolument à proscrire ! La chaleur altère les polymères thermoformés comme les semelles (la lessive également).

Les sabots, qui ont une résistance chauffante interne, ventilent une chaleur chaude (vortex) mais qui n'est pas brulante durant le temps souhaité (ça ne fait aucun bruit). De plus, ils émettent une lumière bleue qui aurait l’effet d’assainir.


La version DRYWARMER NEO USB (à 19,00€ ne propose pas la lumière bleue assainissante).


J’ai testé différents matériels en fonction du temps de chauffe :

  • 4 heures : pour chaussures running, trails ou gants suite à une sortie humide (pluie, flaques d'eau, boue),
  • En continue (une nuit) : pour chaussures trail complètement noyées, ou chaussures de ski,

Vous récupérez des chaussures complètement sèches et légèrement chaudes, c’est très agréable !

Aucune odeur particulière. Je ne peux pas prouver l’efficacité de « l’assainissement » pas lumière bleue, mais vous récupérez un matériel prêt à l’emploi pour une seconde journée d’entrainement ou de ski (c’est valable pour les gants).


L’accès à une alimentation est indispensable.


Je m’en sers :

  • Immédiatement après une séance en connectant l’USB à la prise 12V du coffre de ma voiture,
  • De retour à l’hébergement après avoir dépoussiéré le matériel,
  • Après un lavage à la main des chaussures (à l’eau + brossage + Drywarmer PRO USB),

Pour qui ?

Tous ceux qui font des sorties humides !
8/10

Commentaires

Un commentaire

DDN Tiens ça c'est rigolo, le pas de machine à laver. Je mets mes shoez de trail à la machine en général deux fois lors de leur vie, en programme 30 minutes à froid avec pas beaucoup de lessive, et il ne se passe rien à part qu'elles ressortent propres et faciles à sécher. On fait pareil avec celles des filles et celles de mon épouse, et ce depuis des années. Donc on est des affreux quoi ;-)
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